Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces

Je te promets la clé des secrets de mon âme
Je te promets ma vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoirs

J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore

Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches

Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir

J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore

Et même si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés, comme écris à la craie
On fait bien des grands feu en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir

Et même si c'est pas vrai, même si je mens
Si les mots sont usés, légers comme du vent
Et même si notre histoire se termine au matin
J'te promets un moment de fièvre et de douceur
pas toute le nuit mais quelques heures ...

Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à me main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces...

Je le sais ce n'est pas un drame,
On est perdu dans la fumée,
Avec nos rires avec nos larmes,
Et nos secrets
Je le sais ce n'est pas un drame
On hose à peine ce parler,
Nos espoirs doucement ce fânent,
Sans un regret,
Tu ne m'as rien dis,
Pourtant je sais !

Je sais qu'au font de toi,
Quand tu penses à moi,
Tu ne penses à rien,
Tu souris parfois sans savoir pourquoi,
Tes yeux perdu dans les miens...

Je sais qu'au fond de toi,
Quand tu penses à moi
C'est pour un instant,
C'est pour un moment,
Que tu oubliras quand tu rentreras chez toi...

Je le sais ce n'est pas un drame,
je ne te connais pas assez,
Toute mes idées font des gammes,
sans s'arrêter...
Je le sais ce n'est pas un drame,
Demain il faudra se quitter,
C'est la règle du jeu madame,
ça tu le sais,
Tu ne m'a rien dis,
Pourtant je sais...

Je sais, qu'au font de toi,
Quand tu penses à moi,
Tu ne penses à rien,
Tu souris parfois sans savoir pourquoi,
Tes yeux perdu dans les miens...

Je sais qu'au fond de toi,
Quand tu penses à moi
C'est pour un instant,
C'est pour un moment,
Que tu oubliras quand tu rentreras chez toi...

Décidement, les textes se remuent, toujour un peu perdu, je ne le cache pas, mais j'y crois encore, pourquoi ? Je ne sais pas... Je crois que c'est un peu pour ça que je me suis pas recasé déjà... J'y crois toujours, c'est bête à dire mais c'est vrai. Pourtant j'ai rien pour y croire... Mais au moin je suis content de ne plus être jaloux, je suis débarasser de ça, peut être aussi parce que au font de moi il y a pas de quoi Elodie on peut lui faire confiance ! Elle saura ce qui est bon pour elle, pi j'en ai marre de me faire mal pour de la jalousie faut dire. J'en ai assez souffert comme ça. Je rêve toujour de cette petite femme au yeux bleu si belle. Ce soir elle avait une belle photo sur MSN, j'ai pas hosé la lui demander, je trouve que ça serai exagéré quand même. Je me dois de rester qu'un ami pour elle pour que elle s'en sorte mieux que moi et oublie ce rêve de maison d'enfant. Moi je veux plus d'enfant... Mes enfants c'était un peu au fond de moi ceux d'Elodie, j'arrive pas a voir un enfant d'ailleur... Une maison au bord de la plage, un grenier pour s'évader, des champs dans une cathédrale, reste que les photos les vidéo et la cassette. Et le joli son de la voix de celle que j'aime dans mon portable. Je me demande si les scotch et punaise qui tenais mes photos dans sa chambre tienne encore le coup... Ou si cette joli bague qui était tout mon amour réeuni dans un bijoux n'est pas trop lourde à porter... Peut être est t'elle déjà tombée... En tout cas les fleurs sont surment déjà fânée...  C'est comme nous... Je crois que la seul véritable chose qui est survécu pour c'est notre arbre magique et nos deux nom, qui jamais s'effaceront le temps de vie de l'arbre... Je connaiterais jamais Arromanche, seulement à travers ces yeux, l'envie de revenir en Normandie seul me fait peur, je crois que jamais j'y reviendrai. A quoi bon ? Pour avoir mal ? Quand je serai vieux peut être j'y reviendrai, je viendrai chercher mon arbre et nos paroles de jeune adolescent fougueux et heureux riant chantant à travers la Normandie... Je verrai peut-être plus se grenier... Je verrai encore la mer, cette plage qui attendais qu'on vienne la faire rougir en faisant l'amour... Et ce son des grands orgue saluant notre mariage les entendrai-je un jour ? difficile. Armonie j'ai jamais su ton nom... Tant moi un piège, un clou sous la neige, un truc chinois... Fais moi une farce une attrape un sourire que je ne connais pas... Des rêves et encore des rêves qui se meurt de plus en plus dans la souffrance... que devienne les rêve perdu ? Je me suis jamais posé la question, mais je crois bien des souvenirs... Mais ou vont t'ils ces rêves après ? Je ne sais pas trop... Je suis désolé les enfants vous n'existerai peut-être jamais par ma faute... Elle dit que c'est la sienne, mais au fond je pense pas qu'elle l'ai vraiment penser, et elle a raison, j'ai jamais su la garder... Comme elle a jamais su peut être essayer de revenir. Pour qui ? pourquoi ? Pour nous... Non joli rêve ne pleure pas et va t'en se soir, et disons lui encore quelques mots...

Je n'ai jamais été aussi heureux qu'avec toi, surment que toi aussi mais j'étais l'unique et le premier, je sais pas si tu connaiteras mieux, et c'est pas tant l'importance, mais plus une sentence pour moi... J'ai pas su te rendre heureuse ce mois de mars avril, pourtant toi tu m'avais rendu heureux en avril, un sourir des mots et un contact de plus. J'avais 19ans. Ce soir j'approche encore plus des 20ans, et je vais passer mes 20ans à me demander pourquoi à 19ans j'ai peu être si heureux et pas su géré ma jalousie... Je me demanderai aussi si tes yeux sont toujour aussi bleu qu'avant, si ton sourir fait toujour craquer tant de garçon. Je me demanderai aussi si tu penses à moi comme moi je pense à toi. tu regarderas la mer et moi les étoiles, en se demandant surment et si ? Toujour des si et des remises en question, mais dit toi que tu n'a pas été aidé de toute façon pour prendre une telle décision. Ils se sont tous mêlé de ce qui ne les regardais pas, on t'auras surment poussé à me faire mal sans que tu le sâche. J'ai un souvenir que je n'ai jamais dit, un souvenir qui toi tu le sais pas mais moi je le sais, mais je n'ai rien dit, de toute façon cela n'aurais rien changer. Un souvenir qui m'a fait tellement mal qui quand il revenait je disais une parole dure, maisça tu ne le sais pas et tu n'a rien fais toi pourtant. C'était pas de ta fautes ni celle d'un homme. Quand tu n'étais pas là certain moment étais pas facile, et elle m'enfoncait je m'inquiétais un peu, je savais que la bataille étais perdue, elle a eu ce qu'elle voulait, les armes et ma fautes... Décidement tous le monde à manipulé tous le monde. Nous serions nous retrouvé si les gens, nos amis respectif si les gens jaloux ou si je ne sais pas, c'était mêlé de ce qui les regardait ? Encore des si dans ma tête. Ici c'est mon coeur, tu as pas le droit de te servir de mes mots contre moi ou pour ne pas avoir confiance et même si je t'insultais ici c'est au font de moi et tu n'aurais pas le droit de dire quoi que ce sois. Ici c'est mon coeur et mon coeur je le trouve espionné... Mon intimité et violée il n'y a pas que toi... Un truc que tu m'a reprochés un jour venais de mon journal, je me rend compte que la sensure serai de rigueur, toi tu as changé d'adresse surment pour marquer certaine chose, moi je change pas, j'ai tout marqué ici pour la première fois sachant que mon coeur mes pensée et ma vulnérabilité serai violé... D'ailleur je sais pas si l'on a le droit de lire le journal intime d'une personne qui fut un jour notre grand amour. En tout cas ma curiosité et mon attachement pour toi me font lire tes mots mais aussi réagir un moyen pour toi de savoir ce que je pense, un moyen de savoir que je sais... Moi j'ai rien, tu penses en cachette et tu as surment tes réactions après envers moi. Le piège fatal des blogs. Le piège qui fait que moi je ne serai plus qu'ici pour toi... Je pense je me laisse aller, ces mots ne sont que ceux de mon journal, ce n'est pas une lettre ou je ne sais quoi. tu ne peux pas te fillé vraiment à ce que j'écris ici ce soir. Sauf à une chose, c'est que je t'aime...