Sinsemilia, le groupe de grenoble à composé des chansons qui était tellement réel. Pendant ma première année d'apprentissage c'était notre groupe fêtiche, celui qui accompagnais moi et mon collègue dans notre appartement. Il nous accompagnait toute la journée et on fumait toute les drogue possible sur les chanson de sinsemilia. J'ai jamais récouté ce groupe depuis deux ans, parce que ça me rappelle des soir à vomir par-terre, des soir ou je me shootait à font pour pas avoir peur de la journée du lendemain ou j'allait en Pâtisserie. Me demandez pas ce qui se passais à cette époque, j'arrive pas à en parler mais la première année d'apprentissage était dure et la drogue aidait à oublier. Je ressort cette chanson parce que elle à toujours fait passé une sensation forte en moi malgré toute les connerie que je fumais. Je fais change juste de sujet pour dire que aujourd'hui en descendant à Lausanne, j'ai appris par Amandine que le guitariste de mon premier groupe c'est jeté sur les voies entre lausanne et chez moi. Amandine et Jo était dans le train se jour là. Il s'appellait benoît, ce garçon était à ça 4ème cure de désintoxication, je crois que c'est le mec le plus drogué que j'ai jamais vu. Les dernier jours qu'on l'a vu, il délirait complétement, en fait pendant que j'étais sur Paris les gens me dise qu'il le voyais parler au espris dans le train, qu'il était complétement absant de sont corps. Après que mon premier groupe ai exploser à cause de la police un peu mais plus du fait que benoît savais plus tenir une guitare, il est le seule que je voyais, parce que je sais pas pourquoi il prenait tout les train de Lausanne à chez moi, il faisait que des allé retour. Il se droguait déjà à l'école, il avait des problème grave depuis longtemps, j'ai jamais su de quoi il vivait vraiment, je sais qu'il à jamais eu de copine et qu'il faisait de grande théorie bizarrd sur le monde et sur tout, il avait même essayer de convaincre Gwendo que Dieu existait pas. Je sais plus qu'elle étaitces argument. Je l'ai jamais vu normal, toujours dans un délire à fumer cocaine joint mélanger. Sur les dernier moment ou moi je l'ai vu il en était à l'éroïne, je sais pas ou il trouvait toute ces substance, il prenais vraiment de tout des médicamments des extas, plein de truc bizarrd, mais jamais d'alcool. Il était pas moche, il était blond au yeux bleu, mais toujours sale. Vraiment j'en sais pas plus sur lui, je lui parlais parce que ça m'occupais de le voir délirer et aussi j'essayais de le comprendre un peu, mais il tenait jamais le même discours. Je sais pas ce qui c'est passé dans sa vie pour qu'il devienne comme ça. Il a jamais été agressif, bon il avait pas le physique et tenais pas assez debout pour taper quelqu'un. Quand Amandine m'a dit que il parlait à personne, à des espris peut-être et qu'il délirai et tout, ça me fait peur. J'aurais peut être suivi cette route moi peut-être qui sait. Je sais que moi je l'ai jamais vu parler tous seule, quand il était seule dans le train il disait rien il dérengait personne, alors l'imaginer parler seule délirer c'est vraiment qu'il pétait un cable je pense. Bon il a jamais été lucide depuis que je le connais, il sort de classe spécialisé et tout, et il y a une semaine à 20ans dans un délire complet une nuit il se jeta sur les voit et le train lui roula dessus. Voilà le résumer de ça vie un peu. ça me choque, je reste glassé d'effroit depuis la nouvelle, c'était pas un ami mais il était de bonne compagnie et il fumait de la bonne herbe et partager un bédo avec lui parfois c'était sympatique, mais c'était de la bonne je sais pas ou il l'avais mais elle avait toujours bon goût. Il en fumait en moyenne 14 par jours ça je suis sur je l'ai vu faire assez longtemps. Sans parlé des autre truc qu'il prenait. Enfin pour vous dire il n'avait que 20ans. J'ai appris ça avant l'entretien pour bosser au chemin de fer, je vous jure que ça fou un coup.

Bon je vous mets cette chanson qui pour moi est pas mal écrite.

Jeu d'enfant

Papa et maman parlent de divorce souvent
Histoires de compte commun
Histoires de comptes courants
L'argent n' fait pas l' bonheur et pourtant
J'ai parfois l'impression que l'amour en dépend
Ca doit etre pour ça que papa prétend
Que l'amour est une affaire de grands

En amour il y a aussi des histoires de maîtresses
Ce que papa appelle de simples histoires de fesse
Mais maman dit que ça la blesse
Papa lui dit qu'il l'aime et les larmes disparaissent

Moi avec ma maîtresse, ma seule histoire de fesse
Est une grosse fessée pour cause d'impolitesse
Enfin, tout ça me semble bien complexe
Finalement je n'sais pas si l'amour m'interesse?

LAISSONS LES ENFANTS VIVRE
LAISSONS LEUR JUSTE UNE CHANCE
DE NE PAS NOUS RESSEMBLER
LAISSONS LES ENFANTS LIBRE
LAISSONS LEUR INNOCENCE
RAFRAICHIR NOS IDEES
MAIS LES ENFANTS NOUS FONT PEUR
ET COMME DES BETES SAUVAGES
ON CHERCHE A LES DOMPTER
LES ENFANTS NOUS FONT PEUR
CAR DANS LEURS YEUX DE SAGES
ON VOIT LA LIBERTE

Papa et maman ne vont pas fort en ce moment
La vie, le boulot et puis le mauvais temps
Et moi qui suis dans les nuages tout l'temps
Papa dit qu'il n'est pas normal de planer autant!

D'ailleurs maman veut m'envoyer chez le psy
Je rêve le jour, elle n'en dort plus la nuit
Elle veut que j'ailles voir le docteur aussi
Car elle est épuisée par mon trop plein d'énergie

Moi, les nuages, si j'pouvais y aller vraiment
je m'y serais installé depuis longtemps
Je suis sûr que là haut, on respire plus facilement
Mais je suis déjà trop lourd malheureusement
Ma tête déjà trop pleine de principes encomprants
Qui m'attirent au sol comme un aimant

Papa et maman s'inquiètent pour l'avenir
de temps en tenps
Devant la télé, affalés sur le divan
Comme le changement ils n'y croient plus vraiment
Ils veulent juste sauver leur peau
Et celle de leurs enfants

Maman m'a dit de n'pas parler aux inconnus
De tracer droit lorsque je marche dans la rue
Alors je me camoufle et passe imaperçu
Pour éviter les piéges que la vie m'a tendus

Moi, la vie, j'aimerais y planter toutes mes dents
Quitte à en laisser quelques-unes dedans
Mais soyons raisonnables, restons méfiants
Car il paraît que Dieu punit les imprudents!

On est bien sûr de soi quand on est grand
Avec notre savoir, notre morale
Tous ces principes auxquels on tient tant
Mais c'est souvent trop tard que comprend
Que le bonheur etait simple
Simple comme un jeu d'enfant

Voilà, c'est une des chansons qui me faisais fumer qui m'a vu vomir partout vivre ce que moi je qualifirai de cauchemard, mais pourtant il y avait un truc d'agréable dans ces trips, je sais pas ce que c'est, peut être l'impression que tout était mort en moi et que rien ne pouvais m'attendre. Je me souviens que des nuit je me tenais la tête en suppliant dieu, mais le vrai dieu qu'il fasse que tout s'arrête, que la terre arrête de balancer comme ça, que je n'aiplus le mal de mer. Allez Bisous